De tout, il resta trois choses:
la certitude que tout était en train
de commencer,
la certitude qu'il fallait continuer,
la certitude que cela serait interrompu
avant que d'être terminé.
Faire de l'interruption un nouveau chemin,
faire de la chute un pas de danse,
faire de la peur un escalier,
du rêve, un pont,
de la recherche...
une rencontre.
Fernando Sabino, poète brésilien extrait de "O encontro marcado" (Le rendez-vous convenu); parfois attribué par erreur à Fernando Pessoa. Cité sur FB par Emmanuel E.